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Choix d’un prénom

 
Nous vous proposons aujoud’hui de vous aider à choisir un beau prénom pour votre enfant, grâce à ce module vous trouverez sûrement un prénom qui vous plaira !
 
 
 

Les prénoms

 
Le bon choix d’un prénom

 

Bien choisir le prénom d’un bébé à naître n’est pas une mince affaire, et l’on ne devrait pas se décider à la légère ! En effet, le prénom d’une personne aura des incidences, bonnes ou mauvaises, durant toute son existence, non seulement sur sa vie pratique mais encore, selon certaines études ésotériques, en ce qui concerne sa personnalité et sa destinée.

Le bon choix d’un prénom exige qu’on prenne en considération de nombreux facteurs et paramètres. Voici donc quelques indications et conseils susceptibles de vous aider à faire vos choix en bonne connaissance de cause.

 

1. Le libre choix

En France jusqu’à récemment, on ne devait en général choisir un prénom que parmi les prénoms usuels, issus le plus souvent de noms de personnages historiques ou illustres, de saints ou saintes, ou encore de fleurs, etc. Cette limitation plus ou moins tacite n’est plus en vigueur ; de nos jours, nous pouvons choisir comme prénom n’importe quel mot, que ce mot existe effectivement ou qu’il soit de notre propre invention fantaisiste ou idéaliste. Le choix de prénoms de personnes est à présent aussi libre que le choix de noms de modèles de voitures ! Cependant, cet élargissement du choix implique nécessairement un alourdissement de la tâche de bien choisir.

 

2. Les prénoms usuels et les prénoms insolites

Feriez-vous bien d’opter pour un prénom usuel ou pour un prénom insolite ? Il est difficile de donner une réponse tranchée à cette question.

Les prénoms courants ont un avantage indiscutable : ils sont relativement sûrs et, en choisissant l’un d’eux, vous ne risquez guère de commettre une erreur significative. Bernard, Charles, Jean, Jacques, Pierre, Elisabeth, Claire, Monique, Marie, Thérèse : ce sont des prénoms répandus qu’on peut a priori prendre les yeux fermés, pour ainsi dire. Mais en revanche, portant un de ces prénoms, votre fils ou votre fille risque de fondre dans la foule, tant à l’école que durant toute sa vie adulte. Il en est de même des prénoms dans le vent comme Isabelle, Françoise, Sandra, Morgane, Angèle, Alain, Patrick, Christophe, Stéphane, Kevin.

Un prénom insolite – celui qui est rarement porté ou que vous avez forgé suivant vos idées – peut être utile si vous voulez que votre enfant soit remarqué en société. Mais il y a le revers de la médaille : face à la curiosité compréhensible des gens avec lesquels il rentrera en contact, votre enfant se verra probablement obligé, tout au long de sa vie, de préciser l’orthographe et la prononciation exactes de son prénom d’une part, et d’autre part d’en expliquer l’origine et la signification. Il ne manquera pas de trouver cela désespérément lassant et irritant.

 

3. Les prénoms désuets

Sachez qu’il existe des prénoms que vous aimez bien mais qui pourraient susciter la réticence de la nouvelle génération à cause de leur caractère vieillot. Un garçon ou une fille de nos jours n’aimerait probablement pas porter l’un de ces prénoms : Léon, Victor, Auguste, Mathilde, Fernande, Ursule, Gertrude… Mais d’un autre côté, certains prénoms tombés en désuétude pendant une période plus ou moins longue reviennent maintenant à la mode ; c’est le cas de Maxime, Guillaume, Joseph, Madeleine, Martine, Magali…

Lorsque vous envisagez de choisir comme prénom un nom de saint ou de sainte, assurez-vous que ce nom figure encore au sanctoral (liste des saints de l’Eglise catholique romaine) afin d’éviter un possible sujet de mécontentement de la part de votre enfant. Exemples : Alexis et Philomène étaient jadis des prénoms tout à fait “respectables” ; mais ces deux noms de saint et sainte ont été récemment supprimés du sanctoral, car Alexis et Philomène s’étaient avérés des personnages légendaires et non des gens vertueux ayant réellement existé.

A propos, il arrive que deux ou plusieurs saints ou saintes portent le même nom. Exemples : Catherine (de Sienne ou d’Alexandrie), Antoine (de Padoue ou de Lisbonne), Benoît (de Nursie, de Macérac, de Sébaste, d’Aniane, de Cagliari, ou de Campani). Il serait peut-être utile que vous optiez clairement pour l’un des saints Benoît et d’en informer plus tard votre fils que vous aurez prénommé Benoît.

 

4. Les prénoms distincts et les prénoms ambivalents

Il serait toujours avantageux de choisir un prénom qui annonce clairement la “couleur” sexuelle de la personne qui le portera. Ainsi, Bernard, Antoine, Pierre, Charles, Guillaume, Vincent désignent sans ambiguïté possible des garçons, tandis que Isabelle, Monique, Virginie, Hélène, Madeleine, Thérèse se rapportent immanquablement à des filles.

Un prénom qui a des formes analogues au masculin et au féminin pourrait ne pas plaire à votre enfant à cause de la confusion parfois engendrée dans le langage parlé. Exemples : Paul et Paule, Cécil et Cécile, Michel et Michèle, Daniel et Danièle, Noël et Noëlle. Par contre, il ne peut y avoir de confusion possible entre François et Françoise, entre Chrétien et Chrétienne, entre Célestin et Célestine, entre Benoît et Benoîte.

Méfiez-vous des prénoms ambivalents (qu’on qualifie souvent de “mixtes”). Ce sont des prénoms qui s’écrivent et se prononcent exactement de la même façon et qui se rapportent indifféremment à des garçons ou à des filles. Exemples : Claude, Dominique, Alex, Calixte, Camille, Jackie, Kim, Nolwen, Swan, Terry. De tels prénoms pourraient créer des situations gênantes, surtout pour les filles.

D’aucuns conseillent de choisir un prénom ambivalent lorsqu’on ne connaît pas encore le sexe de l’enfant à naître. C’est là un mauvais conseil, vu les possibles inconvénients des prénoms ambivalents. Le mieux serait de bien choisir un prénom distinctement masculin et un prénom distinctement féminin, et d’attribuer l’un ou l’autre de ces prénoms à l’enfant après sa naissance suivant son sexe connu alors.

 

5. Les prénoms abrégés

Certains prénoms ont pris une forme abrégée et donné naissance à de véritables nouveaux prénoms. Exemples : Alexandre, Alexandros, Alexander, Alexandra et Alexandrine devenus Alex ; Philippe devenu Phil ; Joshua, Joseph, José, Josée, Jocelyne et Joséphine devenus Jo ; Lolita et Lorène devenus Lo ; Patricia devenu Pat ; Susan et Suzanne devenus Sue ; Nichola, Nicola et Nicolas devenus Nico. (Il paraît qu’en France, il y a plus de prénoms abrégés féminins que masculins.)

En attribuant à votre fille le prénom Pat, vous risquez de la mettre dans l’obligation perpétuelle de préciser à tout le monde que son prénom est vraiment “Pat” et non pas “Patricia”.

 

6. L’orthographe

A moins que vous n’ayez de sérieuses raisons de le choisir, évitez un prénom qui se prononce d’une seule façon mais qui peut s’orthographier de plus d’une manière. Avec un tel prénom, votre enfant risque en effet de devoir l’épeler sa vie durant à ceux qui ne le connaissent pas suffisamment et notamment aux officiers d’état civil. Exemples :

Ann ou Anne ; Anny ou Annie ; Carine ou Karine ; Carl ou Karl ; Cyndie ou Cindy ou Cyndi ; Danièle ou Danielle ; Henri ou Henry ; Jeannine ou Jeanine ou Janine ; Karen ou Karène ; Maggie ou Maggy ; Mallory ou Malory ; Marie ou Mary ; Marie-Anne ou Marianne ; Mark ou Marc ; Martino ou Martinot ; Maud ou Maude ; Maxime ou Maxim ; Michèle ou Michelle ; Mikaël ou Michaël ; Monica ou Monika ; Miriam ou Miryam ou Myriam ; Nichola ou Nicola ou Nicolas ; Philip ou Philipp ; Sandie ou Sandy ; Sara ou Sarah ; Susan ou Suzanne ; Wissam ou Wissem.

L’orthographe incorrecte d’un prénom peut non seulement entraîner de sérieuses complications quand il s’agit de documents officiels, mais encore fausser le résultat des études psychologiques ou ésotériques concernant ce prénom.

 

7. La prononciation

Afin d’éviter à votre enfant d’éventuelles mises au point sans fin, évitez de lui donner un prénom dont la prononciation n’est pas encore standardisée. Exemples :
Peter peut se prononcer “piteur” ou “péterr”
Walter peut se prononcer “oualteur” ou “valteur” ou “valterr”
Luis peut se prononcer “louïss” ou “louï” (si vous adoptez la seconde prononciation, elle peut suggérer à l’entendeur que le prénom s’écrit “Louis”).
A éviter également un prénom qui, au féminin et au masculin, se prononce pareillement mais s’écrit différemment. Exemples : prénom féminin Sasha et prénom masculin Sacha ; prénom féminin Pascale et prénom masculin Pasquale (mais Pasquale peut aussi se prononcer “paskouale” et par là se différencier de Pascale) ; prénom masculin Loïc et prénom féminin Loïk (connaissez-vous le fromage “Madame Loïk” ?).

 

8. Les initiales

En choisissant le prénom de bébé, pensez qu’il pourra parfois être écrit et prononcé en initiales ou en abrégé. Essayez de prévoir si, dans ce cas, le prénom choisi ne risque pas de mettre votre enfant dans l’embarras. Exemples :
William Calvayrac et Willy-Camille Lefèvre semblent inoffensifs, mais leurs initiales respectives “W.C.” et “W.-C. Lefèvre” sont évidemment inconvenantes.
Les initiales B.B. de Brigitte Bardot se prononcent “bébé” et de ce fait ont une charmante connotation. Mais les initiales C.C. de Claudia Cardinale pourraient se faire prononcer “caca” par des taquins. Les initiales P.P. de Pascale Petit se prononcent “pépé”, ce qui aurait dû être peu flatteur pour la belle actrice. Les initiales M.M. de Michèle Mercier se prononcent “deuxième” (2 M), ce qui pourrait suggérer l’idée moqueuse que la Marquise des Anges a toujours été au second rang, jamais au top…
Les initiales P.D. de Patrick Darnauville se prononcent “pédé”, ce qui peut être humiliant pour le porteur du prénom.
Les initiales de Brigitte-Odile Frémicourt résultent en “BOF”, tandis que celles de Christian-Olaf Navarre débouchent sur “CON” !

 

9. L’origine et la signification

Il serait utile de prendre en considération l’origine et la signification du prénom que vous envisagez de choisir. Même si ces facteurs vous semblent parfaitement futiles, ils pourraient s’avérer importants pour votre enfant plus tard. Le prénom “Madeleine” n’appelle a priori aucune circonspection ; mais, selon l’Evangile, Madeleine était une “pécheresse”, une prostituée. Il en est de même du prénom “Judas” ; mais, aussi selon l’Evangile, Judas, l’un des douze Apôtres de Jésus, a trahi son maître pour de l’argent et, pris de remords, s’est pendu. –

 

10. Les noms de famille

Dans le choix d’un prénom, on a intérêt à prendre en compte le nom de famille, car celui-ci pourrait avoir des incidences indésirables.

Si le nom de famille commence par une voyelle, choissez un prénom dont la prononciation, avec liaison, ne risque pas de provoquer une confusion et d’appeler une clarification. Exemples : si Ricardo Arpajou est clair, Michel Arpajou pourrait faire comprendre “Michel Larpajou” ; de même, la différence entre Rosa Aillaud et Perle Aillaud à cause de la possibilité de comprendre “Perle Laillaud”.

Pour l’équilibre à la fois phonétique et scriptural, si le nom de famille est long, choissez un prénom court, et inversement. Ainsi, d’une part, Paul Lafournière sonnerait mieux que Constantin Lafournière, Claire Depontaillier mieux que Elisabeth Depontaillier ; et d’autre part, Jonathan Kuntz serait préférable à Marc Kuntz, Véronique Rey à Clu Rey.

Il semble que les noms de famille à deux syllabes (Cloué, Lancel, Mauric, Rouzil, Seyrat, Dardot, Odart, Chirac, etc.) se marient généralement bien avec les prénoms de n’importe quelle longueur.

Un prénom qui semble convenir à première vue peut, lorsqu’il est combiné au nom de famille, s’avérer inapproprié à cause de la désagréable résonance que la combinaison produit. C’est le cas, par exemple, de Maxence Massignon ou de Olga Ollagnier. Pour vous assurer une bonne résonance du couple prénom/nom de famille envisagé, prononcez-le et faites-le prononcer par d’autres personnes, à voix haute et à plusieurs reprises.

 

11. La taquinerie et la dérision

En choisissant le prénom de bébé, tâchez de prévoir si ce prénom ne courra pas plus tard le risque d’être l’objet de taquineries ou de moqueries. C’est en général pendant les années d’adolescence de l’enfant que ce risque est le plus grand et qui peut mettre l’enfant mal à l’aise.

Les causes de taquineries et de moqueries sont nombreuses et variées, et il n’est pas trop difficile de tourner en dérision certains prénoms.
Le prénom “Pete” (dérivé de Peter) d’un garçon risque fort d’être délibérément prononcé “péter” par ses camarades.
Le prénom “Omar” pourrait être détourné en “homard” et devenir un surnom ridicule.
“Fritz” est bel et bien un prénom ; mais ce mot signifie aussi “soldat nazi”.
Une femme adorait la pâtisserie et en confectionnait à longueur d’année ; elle a donc pensé bien faire de prénommer sa fille “Clafoutis” ; mais on pourrait avoir des raisons de croire que la fille ne serait pas toujours heureuse avec son prénom. Le prénom “Prune” pourrait également produire des effets désagréables.
Le prénom “Claude” attribué à une fille pourrait incliner les camarades taquins de celle-ci à l’appeler “Madame Claude” (la vraie Madame Claude était, dans les années 1960-1970, la fameuse patronne d’un réseau de call girls qui pratiquaient leurs talents pour de hauts dignitaires ou des fonctionnaires du gouvernement).

 

12. Les prénoms dans l’optique ésotérique

Quelques psychologues professionnels et de nombreux praticiens ésotériques ont conduit des études sur les implications des prénoms. Ils en sont arrivés à déterminer de façon plus ou moins précise et détaillée les caractéristiques des personnes portant tel ou tel prénom – leurs traits physiques, leur capital santé, leurs prédispositions pathologiques, leurs modes de réactions psychologiques, leur caractère, leurs tendances, les grandes lignes de leur destin, etc. De telles études ont à peu près la même valeur que les études astrologiques. Manquant d’une base strictement scientifique, elles peuvent ne présenter aucun intérêt à bon nombre de gens. Mais nombreux aussi sont ceux qui s’y fient ou s’en inspirent.

 

13. La décision

Comme nous venons de l’entrevoir, choisir le prénom de votre enfant est sans doute l’une des décisions les plus importantes que vous devez prendre pour lui. Aussi, prenez tout le temps de la réflexion nécessaire. Renseignez-vous amplement, discutez exhaustivement avec votre conjoint, et n’hésitez pas à demander l’avis des personnes de votre entourage. Bien entendu, la décision finale vous appartient, à vous uniquement ; mais c’est pour cette raison que vous devez fournir de sérieux efforts.